J’étais à la recherche de sentiers et de traverses. Des chemins
tracés sur le papier. La libraire m’a dit : il faut descendre les escaliers, première à droite, et puis trabouler
dans l’autre aile du magasin. Très bien, traboulons. Ça me convient. J’ai donc déambulé selon ses conseils, fureté de rayons
en rayons, et je suis tombée face à 40 espaces.
Un paquet de 40 cartes postales détaillées en petites cases, dans un journal fait dans un papier fin qui sent le quotidien. Le point de vue choisi dit ceci : « Les dessinateurs/trices n’ont pas beaucoup de bagages, ils n’ont pas besoin de rester figé sur une façade. Ils se faufilent entre les espaces, explorent l’intérieur, recopient la lumière et rendent un espace vivant grâce à leur présence singulière. A qui appartient un lieu ? A ceux qui en se plaçant derrière lui ou au-dessus veulent s’y plonger profondément. A ceux qui se laissent encore surprendre par la normalité. A ceux qui connaissent les chemins parallèles, les cours intérieures, les raccourcis, les ruelles de liaison et les canaux. »
Un paquet de 40 cartes postales détaillées en petites cases, dans un journal fait dans un papier fin qui sent le quotidien. Le point de vue choisi dit ceci : « Les dessinateurs/trices n’ont pas beaucoup de bagages, ils n’ont pas besoin de rester figé sur une façade. Ils se faufilent entre les espaces, explorent l’intérieur, recopient la lumière et rendent un espace vivant grâce à leur présence singulière. A qui appartient un lieu ? A ceux qui en se plaçant derrière lui ou au-dessus veulent s’y plonger profondément. A ceux qui se laissent encore surprendre par la normalité. A ceux qui connaissent les chemins parallèles, les cours intérieures, les raccourcis, les ruelles de liaison et les canaux. »
J’accepte ce voyage,
il tient sous votre bras et ressemble à ça.
(l'entrée se trouvera sûrement dans une librairie de bandes dessinées.)
(en tout cas, c'est par là que je suis passée)
Maintenant c'est à vous.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire